Animint

  Anime & manga

 
 
“Animint traite des dessins animés japonais et du manga. Outre ce blog, le site comporte plusieurs milliers de pages de texte illustré.”

Le site Animint a 20 ans

Par le :: Webmastering

2016

Pour les débuts d'Aggregator Sama, j'avais ressenti le besoin d'écrire des billets pour les anniversaires afin de marquer et suivre les évolutions de l'outil, jusqu'à sa maturité. C'est un exercice que je n'ai jamais eu envie de faire régulièrement pour Animint, dont la structure est très stable et j'ai plutôt sorti des articles ponctuels lorsqu'une nouveauté était intégrée.

J'avais fait une exception pour les 10 ans du site, puis ses 15 ans et évidemment maintenant, pour les 20 ans du site, étant donné que le site Animint a été créé en mai 1996. 20 ans, c'est à la fois énorme et pas grand-chose. Énorme pour un site web internet et vous trouverez difficilement de sites généralistes francophones plus anciens sur les anime et les mangas et un minimum tenus à jour. En regardant dans le rétroviseur, il est gratifiant d'avoir participé à une période pseudo pionnières du web multimédia, où nous faisions nos toutes premières pages pour qu'elles puissent être lus avec le navigateur Mosaic et que nous ignorions alors tout d'Internet Explorer avant que la version 3 se popularise vraiment. Mine de rien, Animint est plus ancien que Google, Wikipédia et consorts.

20 ansd' Animint

D'un autre côté, ces 20 ans vont dans la continuité du paysage de la japanimation que je connais et ne constitue pas un "record" en regardant plusieurs acteurs du secteur. Même s'il y a eu beaucoup de disparitions, des reconversions ou des projets morts nés, je vois un magazine Animeland fêter ses 25 ans et quelques professionnels, qui sont des générations de fans aînées, demeurer dans ce secteur, qu'ils ont embrassé dès les années 1990. Personnellement, ma date clef est plutôt ma découverte du studio Ghibli au festival de Corbeil Essonnes en 1992 et le plongeon qui a suivi dans les conventions et les magasins spécialisés. J'ai été plus sensible à ces 20 ans là que de la création d'Animint, qui s'est effectué dans la continuité, après déjà 4 ans à écumer les événements de japanimation et près de 2 ans après avoir surfé pour la première fois sur le net.

Je n'aime pas trop lire les articles anniversaires des autres sites et autres blogs, parce que l'exercice finit par aborder la question existentielle du "stop ou encore", en laissant souvent poindre le manque de motivation des auteurs et une fin annonciatrice à plus ou moins long terme. Ici, je laisse couler au gré de mes envies, pour que le site reste un hobby avant tout.

Le caractère ludique impose cependant du sérieux en allant plus en profondeur. Vous avez l'analogie avec le sport : Vous pouvez pratiquer pour le plaisir puis commencez à vouloir faire des compétitions pour aller plus loin dans votre loisir. Cependant, qui dit compétition, dit entraînement et d'autres contraintes. Quand vous avez un site web, vous avez envie qu'il soit visité, donc vous commencez à appliquer des recettes et faire en sort de capter des visiteurs. Cela se produit rarement tout seul et demande du temps et de l'énergie. Vous pouvez vous développer en nouant des partenariats et en organisant divers événements, tels que des concours, qui induisent ensuite d'autres obligations, qui peuvent occulter l'aspect loisir devant la masse de travail à fournir pour arriver à un résultat.

En ce qui me concerne, j'essaie de trouver un juste milieu. Multiplier les opérations et rédiger des nouvelles toutes les heures, c'est sympathique mais c'est rarement tenable sur la durée, sauf à se professionnaliser. À mes yeux, la professionnalisation était un modèle qui pouvait encore être envisagée dans le milieu des années 2000 mais quand je vois ceux qui ont sauté le pas et qui se sont plantés, ou bien encore ceux tirent la langue pour boucler leurs fins de mois en travaillant 10 fois plus que la moyenne, je préfère rester en mode loisirs. Entre l'hébergement principal et les sites satellites, cela doit me coûter une grosse centaine d'euros par an, que peuvent supporter mes finances sans problème en ce moment.

Je préfère avoir une fréquence publication à un rythme pépère mais régulier, en veillant à tenir à jour plusieurs rubriques clefs, tel que l'agenda des manifestations, pour conserver l'aspect sérieux. Pour les articles sur le blog, je marche à l'envie avec parfois un article pondu en moins d'une heure sur un coup de tête.

Depuis 2013, je me suis mis aux figurines – pour le plus grand malheur de mon portefeuille et de mes bibliothèques reconverties en vitrines - mais si j'achète moins de mangas, je regarde toujours autant de dessins animés japonais. En étant toujours en Île de France, j'ai aussi facilement accès aux événements et aux expositions, même si je suis plutôt blasé par les conventions classiques sans invités notables et si je me libère finalement moins facilement que dans le passé.

En fait, je passe pas mal de temps sur Animint, même au quotidien, mais principalement pour les publications sur le compte Twitter. J'ai plus de mal à avoir une stratégie claire avec la page Facebook, où j'ai moins d'abonnés et où je suis moins à l'aise pour dénicher puis partager une information, alors que cela se fait tout seul sur Twitter. Je me pencherai peut-être un jour sur la question mais les outils gratuits de publication atteignent vite leur limite et les APIs pour concevoir ses propres applications ont une fâcheuse tendance à évoluer du tout au tout, obligeant à tout recoder.

Voilà pour mes états d'âme sur ce passage du cap des 20 ans mais pour l'occasion, je vous propose maintenant une quinzaine d'anecdotes en rapport avec le site, dont plusieurs que j'ai déjà mentionnées sur ce blog mais ce sont autant de témoignages sur cette longue aventure.   

20 ansd' Animint

Quand Animint devait s'appeler INT Anime

À l'école d'ingénieur de l'Institut National des Télécommunications (INT), rebaptisé depuis Telecom SudParis, je me souviens avoir terminé les cours de la matinée et rejoins le réfectoire. Ce jour-là, il y avait beaucoup de monde et nous attendions plus longtemps que d'habitude. Dans la queue, j'étais devant mon compère Lum, qui suivait les mêmes options que moi mais pas tout à fait le même cursus. Il a profité de l'attente pour m'expliquer que son site sur les anime manga, hébergé à l'époque à l'Université d'Orléans, où il avait suivi un cursus là-bas avant de venir à l'INT, devait fermer et donc déménager autre part.

À l'époque héberger un site qui avait un volume déjà conséquent, était beaucoup moins simple qu'aujourd'hui. Avoir une place sur les serveurs universitaires accumulait les avantages de la gratuité mais aussi de la bonne accessibilité en profitant du débit du réseau Renater. De mon côté, j'avais aussi mes pages personnelles, hébergées elles sur les serveurs de l'INT et Lum a proposé de fusionner son site et le mien en un INT Anime qui pouvait prendre sa place sur le serveur web des élèves. J'avais déjà vaguement songé à cette possibilité et j'ai accepté en proposant plutôt de s'appeler Anim'int.

On dit bien /Animɛ̃t/ ?

Avec le temps, l'apostrophe a disparu mais la prononciation est restée donc le i est distinct du n. Quand quelqu'un découvre le nom du site par écrit, il peut opter pour la prononciation naturelle à la française et cela m'a fait plusieurs bizarre d'entendre des gens me parler de mon site /Animɛ̃t/, même s'ils finissent par poser la question sur la prononciation quand les autres leur parlent d'Animint. De l'importance de l'étymologie...

Les dossiers vs les fiches technique

La fusion de mes pages avec celle de Lum s'est faite assez facilement, nos sites étant très complémentaires. En gros, j'apportais un agenda des manifestations, une galerie d'images et une centaine de critiques d'anime, tandis que son site comportait plusieurs centaines de fiches techniques d'anime et plusieurs guides dont une liste mensuelle de parutions des mangas et des anime en France.

Vous retrouvez cet héritage dans la structure d'Animint qui s'est enrichie mais qui n'a pas fondamentalement changé. Ceci explique aussi la pérennité d'une rubrique dossiers que j'ai mis beaucoup de temps à fusionner complètement avec les fiches techniques équivalentes, en trainant des doublons avec la critique d'un côté et la liste des épisodes de l'autre.

Belldandy l'égérie du site

En guise d'illustrations, le matériel disponible sur internet était limité aux titres phare de l'époque et pas toujours de super qualité. En 1995, les OAVs d'Aa Megamisama étaient en vogue et les différents scans ou captures d'écran étaient suffisantes pour habiller les rubriques de mon site, même si j'avais aussi pris du Ranma 1/2. Du côté de Lum, c'était évidemment Urusei Yatsura qui était partout.

Au niveau de la première charte graphique, nous avons harmonisé les fonds d'écran et les menus de navigation, mais laissé les images des uns et des autres sur les copies des pages d'origine. L'accueil était également un équilibre des deux identités visuelles d'origine, avec notamment une Belldandy venant de ma partie. Au fil des années, le look & feel des pages a évolué mais la déesse est restée pour marquer l'identité du site.

Un nom de domaine en 3 lettres

Si Lum s'est éloigné assez rapidement de la gestion du contenu, il a contribué à la survie du site juste après nos études. En 1997, c'était assez facile d'héberger sa page personnelle quelque part mais beaucoup moins évident de trouver un espace pour un site déjà très conséquent. Il aurait fallu sacrifier un bon nombre d'éléments médias pour alléger le tout et pouvoir l'héberger sur une plateforme gratuite. Lum travaillait alors chez un fournisseur d'accès internet au Japon et il a pu facilement transférer Animint sur un de ses serveurs pour lequel il a pris un nom de domaine, le uru.org par référence à la planète Uru.

Quelques années après, j'ai transféré à nouveau Animint en France sur un serveur mutualisé entre amis. Le uru.org pointe maintenant sur ce serveur et vous pouvez toujours accéder au site via son ancienne adresse http://animint.uru.org. Le même serveur est aliasé avec un autre domaine payé par Lum, le miyazaki.org.

Les voisins d'Animint

Le serveur associatif où est Animint héberge d'autres sites sur l'animation et parmi les voisins connus, je citerai Catsuka et Buta Connection. Chaque année, à l'automne, un restaurant est organisé pour faire office d'assemblée générale.

Le concours Nausicaä

Une année, je m'étais rendu à l'assemblée / restaurant avec une grande affiche cinéma du film de Nausicaä qui sortait en France. C'était le cadeau d'une agence autre que Buena Vista, qui avait organisé un concours avec Animint, avec des lithographies à 200€ à la clef pour les meilleurs lauréats. J'ai conservé un souvenir agréable de cet épisode, avec des participants qui s'étaient donné du mal pour faire leurs illustrations, même s'ils n'étaient pas super nombreux. C'était quand même plus sympathique qu'un questionnaire et un tirage au sort.

Le cadeau de webmestre

Un visiteur de passage ne se souvenait plus du titre de La Linea, la série d'animation italienne et je le lui ai rappelé. À la fin des années 1990, il y avait un peu moins de ressources disponibles sur la toile pour glaner ce genre d'information. Visiblement, mon correspondant cherchait l'information depuis quelques temps et tout heureux, il m'a fait parvenir des codes premium pour accéder aux sites qu'il administrait, des sites pornos en l'occurrence…

20 ansd' Animint

Le jour où on m'a écrit que je devais obligatoirement aimer Sailor Moon

Au milieu des années 1990, Sailor Moon était la série qui avait le vent en poupe et ce n'était franchement pas ma tasse de thé, notamment quand vous essayez de montrer qu'il existe autre chose que des séries télévisées et que la majorité de vos visiteurs ignoraient tout des films du studio Ghibli, entre autres. Je ne me privais pas de basher l'anime dans la plupart de mes critiques en tant que jalon vers le bas et évidemment, même en restant pondéré, cela ne plaisait guère aux fans de la série.

Cela m'a valu de recevoir un beau mail de la part d'un visiteur qui se plaignait de ce parti pris contre sa série fétiche. C'était la première fois que je recevais un mot pour critiquer mes goûts mais là, le message m'avait particulièrement marqué : Là, où j'aurai exprimé une complainte en quelques lignes, le mail faisait déjà plusieurs pages et prenait l'allure d'une véritable dissertation. En résumé, non seulement on me disait que Sailor Moon c'était le nec le plus ultra mais qu'en plus,  je n'avais pas le droit de ne pas aimer si j'étais vraiment un être humain.

En pratique, l'expéditeur du courriel me confirmait que la série était aussi diffusée au Québec mais le manque absolu d'ironie ou de second degré m'avait beaucoup amusé, au-delà de la surprise de voir un tel pavé dans ma mailbox.

La manifestation de l'année 2000 en Savoie

Dans l'agenda des manifestations en France, je recense les principales conventions en France et tente aussi de dénicher les petites expositions, avec encore pas mal de mails envoyés par les responsables qui soignent leur plan de communication.

De temps en temps, cela prend des tournures inattendues. Il m'arrive de recevoir des annonces pour des événements mort-nés mais je me souviens encore de l'annonce d'un petit événement à Chambéry, en 2000. Le début du message était classique en mettant en avant une association dont j'ai oublié le nom, mais le descriptif du programme était pour le moins insolite : Il y avait d'abord un rendez-vous pour aller chez le président de l'association avec un repas improvisé, où les participants devaient apporter à manger, avant d'aborder des activités jusque tard dans la nuit : Atelier dessins à la salle à manger, bidouillage sur le PC du président, lecture de mangas dans la chambre, karaoké au salon, etc..

Quelques années après, le président, revenu à d'autres préoccupations, m'a demandé de virer l'adresse de l'événement, vu que c'était celle de la maison de ses parents.

Quand Animint gagnait au concours de bannières Japan Expo sans participer

Japan Expo n'a pas toujours été l'immense convention à Villepinte, mais la manifestation était déjà très conséquente quand elle avait ses quartiers sur les quais d'Austerlitz.

Les organisateurs avaient lancé un concours de bannières pour faire venir des visiteurs sur leur site, concours auquel je n'avais pas du tout participé mais j'avais mis leur bannière – je crois – et un lien dans la fiche classique pour la manifestation dans ma rubrique agenda. À l'époque, Animint devait être extrêmement bien placé dans les moteurs de recherche et autres, ce qui fait que la page a renvoyé énormément de visiteurs sur le site de Japan Expo, par rapport aux autres pages web inscrites au concours.

Du coup, j'ai eu droit à un mail de remerciement et des places gratuites, en me demandant d'inscrire mon site au concours la prochaine fois pour éviter ce genre de participation sauvage. J'ai du remporter quelques entrées bonus par ce biais les années suivantes.

Animint dans les médias

Diabolisé ou suscitant juste la curiosité, le phénomène manga a fait un peu couler d'encre à la fin des années 1990 et début des années 200, alors que, maintenant, cela fait  beaucoup plus partie du paysage. À cette époque, faire partie des quelques sites web sur le sujet augmentait forcément les chances d'intéresser un média traditionnel.

J'avais déjà vu passer des captures de mes pages personnelles dans un reportage d'Arrêt sur Images, avant la naissance d'Animint. J'ai vu aussi quelques critiques citées dans des magazines et je me souviens notamment que c'était le cas dans un article dans Marianne, pour la sortie du film Jin-Roh. Pendant quelques temps, le magazine Animeland avait une page sur les sites internet mais ils ont du avoir du mal à maintenir la rubrique étant donné qu'Animint est passé deux fois dedans. Enfin, je me souviens d'une interview par téléphone sur RTL en début de soirée, dans une émission consacrée aux sites web. 

Du plagiat à l'article rémunéré

Je suis devenu plutôt zen par rapport au sujet mais parfois cela donne des situations rocambolesques. J'ai une page sur l'Anime Grand Prix organisé pendant longtemps par le magazine Animage, et je mentionnais la période d'éligibilité des anime en disant par erreur que c'était l'année scolaire précédente alors que c'est de décembre à novembre. L'erreur a été reprise telle quelle sur la page Wikipédia française et je n'ai jamais réussi à la faire corriger

J'ai eu plutôt la surprise de la situation inverse, où pour un catalogue, une boite professionnelle a payé pour réutiliser un de mes dossiers, à un tarif plutôt conséquent.

Animeet, le site de rencontres

Pendant une période, j'ai animé le chat de discussion d'Animint avec des sessions de quiz, l'animation se limitant à faire venir un bot pour poser les questions et enregistré les scores. Quelques participants ont profité des sessions pour draguer et de fil en aiguille, cela a fini en bébé et mariage pour un des couples.

L'idée de réserver Animeet m'a traversé l'esprit à cette occasion, à défaut de rebaptiser le site. L'apparition du Geekmemore quelques années après, ne m'a guère étonné.

Du surhomme au bot

Parfois, certains visiteurs vous prennent pour un surhomme. Dans unes des versions d'Animint, j'avais installé un script pour charger une illustration différente au chargement de la page d'accueil. La webmestre d'un site voisin était persuadée que je changeais l'illustration à la main tous les jours, avant de se rendre compte finalement que l'image se modifiait à chaque rechargement de la page.

Un peu plus récemment, j'ai eu droit à quelques compliments pendant que je faisais la queue pour une dédicace à une convention. Mon abonné sur Twitter était persuadé que je postais des tweets consciencieusement toutes les demi-heures en direct, pendant que j'étais en déplacement.

À l'inverse, lors d'un repas pendant la convention de l'Epita, une abonnée à la lettre d'information du site, que je compose et que j'envoie une fois par mois, a découvert que je n'étais pas un bot. Celle-là aussi, on ne me l'avait jamais encore faite.

20 ans Animint

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Commentaires sur ce billet:

  1. Le 24/05/2016 à 09:29
    Yuuri a dit

    Coucou !

    Bravo pour les 20 ans de ton site ! J'ai appris pas mal d’anecdote avec ce billet (notamment sur les serveurs).
    Ça fait un peu plus de 10 ans que je te suis, et j'espère pouvoir continuer à te suivre encore 10 années de plus !

  2. Le 24/05/2016 à 12:30
    Momocom a dit

    Tout le bureau Anim'INT à Télecom SudParis et Télécom EM souhaite un bon anniversaire à Animint !

    Honnêtement, c'est vraiment exceptionnel que de maintenir et mettre à jour un blog personnel pendant 20 ans, j'ai personnellement eu la lubie de le faire à une epoque, mais me suis rendu compte que je me lassait toujours en moins de 3 mois.

    Mais sinon du coup, l'asso existait à l'epoque? On a quelques archives mais pas assez. Du coup on ne connait pas les dates de création. Autant l'on a des periodes super bien documentées comme la participation à la Japan Expo 2000, autant le reste: trou noir... je me dis donc qu'un ex INTien ausi éminent pourrait nous renseigner. :)

  3. Le 24/05/2016 à 19:36
    Pazu a dit

    @Yuuri Encore 10 ans, je ne sais pas mais la prochaine échéance sera déjà pour les 25 ans. Merci pour ton commentaire, cela veut dire que je ne radote pas trop si tu as pu découvrir de nouvelles facettes du site via ces anecdotes :)

    @Momocom L'association a été crée après notre départ. Lum a organisé plusieurs projections en amphithéâtre mais cela restait une initiative personnelle.

  4. Le 24/05/2016 à 23:19
    Corti a dit

    C'est sympa de découvrir un peu les dessous de temps en temps. Et chapeau à toi d'avoir tenu aussi longtemps tout seul quasiment, les autres références que tu cites ont en général des équipes, ce n'est pas exactement la même chose.
    En tout cas, je ne sais pas si je serais capable de faire la même chose.
    Bonne continuation, et on va attendre les futurs détails croustillants des 25 ans ! :D

  5. Le 25/05/2016 à 10:41
    VpViennetta a dit

    Joyeux anniversaire Animint !

    L'anecdote concernant La Linea est assez cocasse. Déjà du premium à l'époque, un avant-gardiste. ;-)

  6. Le 26/05/2016 à 19:23
    Pazu a dit

    @Corti Hormis la fusion de départ, il y a eu des aides ponctuelles ci et là, mais il est vrai sans véritable équipe mise en place. D'un autre côté, être seul maître à bord évite les prises de tête

    @VpViennetta Je me souviens que le webmestre distribuait des gifs animées - les vidéos étaient beaucoup trop lourdes à l'époque pour espérer en mettre sur un site. La qualité était tellement pourrie que de toute manière, je n'ai pas "consommé" :)

  7. Le 29/05/2016 à 12:07
    Yoh a dit

    joyeux anniversaire et longue vie

  8. Le 01/06/2016 à 20:00
    Pazu a dit

    @Yoh : Merci 'sieur !

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