J'ai emménagé un espace figurines dans mon nouveau salon et j'en profite pour faire un retour d'expérience sur cette installation qui s'appuie sur des vitrines Detolf vendues chez le fabricant chinois suédois bien connu, même si je décline toute responsabilité sur ce qui pourrait arriver si vous vous lancez sur le même chemin. Je conclurai par un tour d'horizon succinct de la centaine de figurines japonaises que j'ai placées dedans.

Pour exposer des statuettes à l’abri de la poussière, il existe plusieurs alternatives et je suis assez friand des bibliothèques en bois avec des portes vitrées. C'est relativement solide, facilement modulable si les étagères sont réglables en hauteur, mais seule la face avant est transparente et vous ne voyez rien depuis les côtés. Dans mon grand salon, il aurait été impossible de voir les figurines depuis certains endroits de la pièce donc j'ai opté pour des vitrines en verre.

Étant donné que j'avais déjà une Detolf à ma disposition, j'ai préféré procéder dans la continuité plutôt que de chercher d'autres modèles et finir avec un ensemble disparate. Avec une hauteur d'un peu plus d'1m60 sur un carré de 40 cm d'arêtes environs et 3 étagères, cela présente un volume conséquent pour un prix correct. Neuve, une Detolf est vendue 75 euros mais avec un peu de patience, vous pouvez dénicher des occasions à des prix bien moindres. Sur le principe, je suis réticent à investir plus d'argent dans le contenant que dans le contenu, même si une solution de vitrine très haut de gamme peut apporter plus de tranquillité.

Je trouve que la structure d'une Detolf est robuste avec quatre parois en verre serrées entre deux plateaux en bois par une structure métallique. Les étagères supportent en revanche peu de poids, du genre 3 kg grand maximum si mes souvenirs sont bons. Les figurines en PVC sont légères donc cela laisse de la marge mais il est déconseillé d'y placer des statues beaucoup plus lourdes faites à base de résines à la densité plus importante par exemple.

• Les rehausseurs

En conséquence, vous vous retrouvez plus souvent avec plusieurs petites figurines par niveau, plutôt qu'une seule belle pièce de collection par case. Sauf à limiter drastiquement leur nombre, vous finissez par avoir des statuettes devant qui cachent celles qui sont derrière. La solution est de surélever ces dernières mais encore faut-il avoir des rehausseurs à disposition. Certains collectionneurs utilisent des pots de yaourt ou de confiture en verre et les places tels quel, mais cela commence à peser lourd surtout si ces pots se multiplient et sont gros. J'ai préféré opter pour du plexiglas qui est beaucoup plus léger que du verre et suffisamment solide, même si cela plie plus facilement sous le poids. En furetant dans les offres de matériels professionnels, j'ai trouvé néanmoins que les rehausseurs proposés représentaient un coût conséquent et parmi les rehausseurs proposés aux particuliers, je n'ai pas trouvé le modèle idéal non plus.

J'ai fini par adopter la méthode Do it yourself en achetant des feuilles de plexiglas dans mon magasin de bricolage local à moins de 10 euros la plaque de 50 cm sur 50 cm, dans lesquelles j'ai découpé quetre plateaux de 37 cm sur 12 cm, avec en reliquat un petit carré de 12 cm sur 12 à chaque fois. C'est plus facile avec une scie mais vous pouvez utiliser aussi un cutter en passant sur la coupure une bonne dizaine de fois de chaque côté et en pliant ensuite la plaque d'un coup sec pour la briser proprement. Même si c'est du synthétique, le plexiglas reste du verre donc n'oubliez pas de vous munir de gants et de lunettes de protection quand vous le travaillez. C'est trop de bête de se faire mal ainsi, surtout aux yeux, alors que des lunettes basiques mais suffisantes se trouvent à 2 euros dans le commerce.

Si vous êtes doués et équipés, vous pouvez chauffer les bords de vos bandes de plexiglas pour les courber pour faire des pieds et obtenir des support de grande classe. Pour ma part, j'ai d'abord testé le collage pour attacher des petites plaques verticales de plexiglas pour faire office de support. Cela tenait très bien mais esthétiquement les jonctions étaient trop voyantes. J'ai préféré finalement récupérer de bêtes pots à dessert en plastique translucide et j'ai juste placé les plateaux en plexiglas dessus. C'est en fait la solution la plus discrète que j'ai trouvée pour un prix défiant toute concurrence.

• La surélévation des Detolf

Les Detolf sont livrées avec des petits pieds de quelques centimètres de haut qui font juste office de patins pour pouvoir déplacer ces meubles plus facilement. La base reste ainsi au ras du sol et le problème qui survient est que les figurines placé à ce niveau sont peu visibles. Il faut presque s'accroupir pour les admirer sauf à n'y mettre que des spécimens allongés ou qui regardent vers le haut.

Une solution est de surélever les vitrines en plaçant des caissons Besta en dessous. J'ai vu cette idée chez d'autre collectionneurs, qui donne un très bon rendu à raison de 5 vitrines Detolf sur 2x2 blocs Besta.

Une partie des parois des Besta font quand même 4 cm d'épaisseur pour moins de 40 cm de haut mais j'ai renforcé un peu l'ensemble en rajoutant des tablettes à la verticale à l'intérieur. Une plaque de medium de 1 cm d'épaisseur de 80 cm x 40 cm revient à moins de 10 euros. C'est du bois de basse qualité mais qui se scie très facilement et qui n'est pas tellement pire que celui de vos meubles chinois suédois et c'est juste là pour un peu décharger les parois existantes. Pour plus d'efficacité, vérifiez avec un niveau à bulle que vos renforts sont bien verticaux et qu'ils font bien une jonction en continue que ce soit en haut ou en bas. Il est accessoire de coller ces panneaux verticaux dans les Besta – cela vous permet de revenir en arrière si vous changez d'avis et que vous voulez faire autre chose avec vos meubles – mais il faut au minium qu'ils soient bien coincés dedans.

Si vous surélevez vos Detolf, il faut penser à enlever les patins en dessous et surtout y songer avant d'assembler les vitrines car c'est compliqué à faire après étant donné leur poids et leur fragilité. Pour monter les Detolf sur les Besta, soit vous êtes une force de la nature et vous soulevez les 50 kilos de chaque vitrine à bout de bras, ou bien vous assemblez les Detolf dessus au fur et à mesure en prenant garde de ne pas laisser tomber les parois pendant le montage. Dans un cas comme dans l'autre, il faut mieux être à au moins deux personnes.   

• Joints anti-poussière

Une critique récurrente sur les Detolf sont leur penchant à laisser passer la poussière, d'autant plus problématique quand elles sont situées dans un lieu de vie et de passage et pas dans une pièce d'exposition dédiée, plus isolée. C'est quand même un comble car la principale motivation de placer des figurines dans une vitrine est de les protéger des particules de saleté, ou du moins, de réduire la fréquence du ménage à faire par rapport à un emplacement à l'air libre.

La Detolf est à peu près hermétique sur trois faces mais la porte de devant présente des marges de 5 millimètres en moyenne de tous les côtés, qui laisse pénétrer beaucoup de poussières. Un moyen simple de combler les interstices est de poser un joint d'isolation autocollant d'un demi centimètre d'épaisseur. Il est impossible de l'apposer partout car il faut laisser un peu d'espace le long de la charnière pour pouvoir ouvrir la porte mais cela comble grandement les ouvertures pour un coût de seulement quelques centimes d'euro au mètre.

Le seul coût véritable est artistique avec une bande d'isolant qui se voit tout autour de la porte mais étant donné que j'ai mis des guirlandes lumineuses les parois n'auraient pas été laissées nues de toute manière. J'ai plutôt fait coup double en plaçant l'isolant sur 3 côtés le long de la porte puis une bande de LED par dessus.

• L'éclairage

J'ai hésité à placer un éclairage quelconque sur l'ensemble. Le système natif est tristounet avec juste un spot au sommet qui éclaire peu et cela ne m'arrangeait pas du tout de tirer le fil jusqu'en haut quand la prise est en bas. Je ne me voyais pas non plus mettre des barrettes devant chaque plateau en fixant les fils le long des grilles et user du fer à souder. L'option bande lumineuse autocollante était plus simple, avec juste le fil d'alimentation à gérer, le reste étant collé à même la vitrine ou l'isolant dans mon cas.

Les modèles qui m'intéressaient étaient du genre "dreamcolor" qui permettent d'avoir des couleurs différentes sur le même tronçon mais même avec ce critère, il y a moult systèmes en vente. La seule référence sûre que j'ai repérée provient de chez Govee mais la facture aurait atteint 40 euros par Detolf. Je ne me voyais pas investir 200 euros dans l'éclairage mais d'un autre côté les critiques fusent sur les modèles bon marché entre une luminosité faiblarde et/ou un nombre ridicule de LED par mètre de bande. J'ai choisi un système intermédiaire d'une marque lambda qui présente une bonne intensité et une bonne diversité dans les effets. Chaque tronçon de 5 mètres me remplit une vitrine. Les transformateurs chauffent cependant un peu trop à mon goût pour les laisser branchés en permanence, mais le résultat a de la gueule et vaut le coup d'oeil.

En attendant encore plusieurs mois, j'aurai sans doute eu plus de choix de systèmes de LED à ma disposition mais je voulais en profiter au plus tôt et éviter d'avoir à ressortir toutes les figurines juste pour installer les bandes lumineuses.

• La sélection de figurines

Une fois l'éclairage installé, j'ai pu passer au rangement des figurines mais encore fallait-il savoir lesquelles mettre, surtout que j'en ai beaucoup, du genre 10 fois plus que ce que je comptais disposer à l'intérieur des Detolf. Certaines de mes pièces sont très belles mais trop grandes pour rentrer dans les vitrines, où je ne suis pas allé jusqu'à me procurer et installer des ustensiles pour pouvoir régler à volonté la hauteur des étagères en verre. De toute façon, j'aurai trouvé dommage d'avoir des figurines qui monopolisaient à elles seules tout un emplacement sans forcément occuper tout le volume. C'est souvent le cas avec les exemplaires qui portent des robes très larges mais qui ne sont pas bien grands.

Je n'ai pas de rehausseurs en escalier donc je ne me voyais pas non plus organiser des scènes avec uniquement des nendoroids. Soit on les aurait mal vues, soit cela aurait été une grosse perte de place. J'ai mis plusieurs nendoroids mais seulement dans un soucis de combler les vides quand les figurines à l'échelle laissaient trop de place libre. J'ai privilégié les scales au 1/7e qui s'ajustent bien à l'espace disponibles de chaque étagère, sinon j'ai sélectionné des statuettes avec un socle relativement haut ou une pose aérienne qui permet d'occuper les 40 cm de hauteur de chaque niveau. J'ai essayé de varier également les licences, histoire d'éviter d'avoir que des Miku, que des Saber ou que des Rem. Le résultat final me satisfait avec peu d'espace gâché sans que les figurines aient l'impression d'être collées les unes aux autres. Vous avez une vue d'ensemble à la fin d'article mais j'ai aussi pris des clichés de chaque bloc.

Pour attirer les clients sur leurs boutiques maison, où ils se font plus de marge, les éditeurs proposent des bonus exclusifs plus ou moins intéressants. Cela peut être un strap ou une illustration mais dans le cas de cet Edward Elric de Fullmetal Alchemist, Kotobukiya est allé loin. Dans la version standard, Ed touche le sol tandis que dans cette version limitée, Alphonse fait office de socle. Vous avez quasiment deux figurines au lieu d'une seule.

Au premier plan, les nendoroid de Kaguya-sama Love is War sont récentes et j'ai trouvé amusant de placer Chika au pied d'Alisa de God Eater à cause de la similitude de leurs casquettes.

Le bloc regroupe des figurines sur le thème du rouge et noir. Ces dernières sont officiellement toutes à l'échelle 1/8e mais la Velvet de chez Alter fait un peu plus grande. J'ai aussi l'édition limitée de la Velvet au 1/8e sortie  chez Kotobukiya avec une main de monstre et elle est 2 centimètres plus petite. Exposer les deux Velvet cote à cote donne un rendu biscornu donc j'ai décidé de placer la version Kotobukiya ailleurs que dans les Detolf.

J'ai fait une entorse à mon principe de diversité, en présentant sur 2 blocs cette collection de 9 chanteuses Love Live sorties chez Alter. C'est relativement rare de posséder un tel ensemble et elles s'exposent très bien dans les Detolf, où elles s'accordent à merveille sur mes rehausseurs.

Kamina de Gurren Lagannn est en fait plus petit que Yôko donc je l'ai surélevé pour que la différence d'échelle ne se remarque pas trop. Yôko est un exemple d’orfèvrerie de la part d'Alter : Son manteau déchiqueté et gonflé est époustouflant, d'autant plus que la figurine remonte à 2009, à l'époque où certaines productions concurrente avaient une qualité moindre que les fig prize d'aujourd'hui.

Le robot sur lequel se tient Simon existe en version complète et il est possible d'installer Simon au sommet mais le mecha est sous forme de Gunpla à monter et jusqu'à présent, j'ai toujours eu la flemme de le faire.

Parmi les nendoroids de Kill la Kill, la version de Mako est une version qui était exclusive à la boutique Good Smile Company mais disponible à Japan Expo l'année de sa sortie. J'ai acheté les deux autres nendoroids en occasion et je me suis aperçu que la Ryûko provenait aussi de la boutique Good Smile. Elle avait le petit ciseau exclusif mais ce n'est guère folichon comme bonus. Elle est quand même plus classe avec une grande lame.

J'avais l'habitude placer l'Ultimate Madoka en milieu des quatre autres figurines de ses consoeurs parues aussi chez Good Smile Company  mais avec l'arrivée de l'Akuma Homura de chez Aniplex, j'ai réparti l'ensemble sur deux cellules et rajouté des nendoroids pour meubler.

Alors que la licence D.Gray-man était moribonde, c'est assez inespéré qu'Aniplex ait sorti une si belle figurine d'Allen en 2018. Je ne reconnais pas trop Yû Kanda dans sa version de l'arc Hallow mais il aurait été dommage de ne pas acheter le duo avec leurs socles en forme de dés.

Les nendoroids de devant forme une rangée "jeux vidéo". Vous reconnaissez à droite  YoRHa No. 2 Type B de NieR: Automata. Au milieu vous avez une exclusivité de Shion de Brave Frontier et idem pour Ahri de League of Legends. À sa sortie en 2014, la nendoroid d'Ahri a été vendue en exclusivité le temps d'un week-end au sein d'un tournoi de League of Legends. Autant dire que sa rareté lui a donné une cote extrêmement élevée. Heureusement, Riot game l'a distribuée de nouveau en 2018 de manière beaucoup plus abordable : elle était même disponible sur leur boutique Europe. La seule différence avec la version collector a juste été la boite. En plus, elle ne justifie pas vraiment sa valeur car même si elle est mignonne, la finition est moyenne avec des traces de moulage sur sa queue par exemple.

Avant d'installer l'imposante Jeanne d'Arc Alter de chez Alter, je pensais qu'elle allait occuper un niveau à elle toute de seule. Finalement, j'ai pu placer une Asuka avec elle et mieux, j'ai d'abord mis une figurine d'Asuka de chez Kotobukiya à l'échelle 1/6e mais elle faisait trop grande par rapport à Jeanne. Je me suis rabattu sur le modèle d'Asuka avec la longue lance de chez Amakuni mais dont le corps est plus svelte.

J'aime bien la bouille de la nendoroid de Shiki en version chat. La Saber en maid était une exclusivité de la boutique Good Smile Compagnie mais je l'ai glanée également à Japan Expo.

Les deux figurines de Misaka sont fabriquées par Kotobukiya. J'aime bien avoir des tenues différentes pour un même personnage plutôt que juste avoir des poses différentes. La nendoroid Sister à gauche est une exclusivité de la boutique Good Smile difficile à trouver en occasion à un prix raisonnable mais j'ai vu que même la cote de la nendoroid de Misaka avait beaucoup augmenté.

La Sakura Hello Brand New World s'agence très bien dans l'arrière d'une Detolf. Son corps est en hauteur mais sans prendre trop de place en profondeur. Entre une précommande lancée un an à l'avance et les retards accumulés, il a du se se passer plus de deux ans  entre ma commande et son arrivée. En plus, pour alléger les frais de port, elle a été envoyée via bateau et a mis deux mois pour faire le trajet contre une à deux semaines en avion en temps normal.

Au premier plan, vous reconnaissez des personnages de Made in Abyss, qui conviennent mieux à mon avis au format nendoroid qu'en scale étant donné leurs designs atypiques.

La figurine de Coco sur la gauche est encore une production de Kotobukiya. Elle m'a incité à découvrir le manga l'Atelier des sorciers d'où elle est tirée.

La case regroupe quatre figurines qui sont à un niveau adéquat en étant placés au sol, grâce notamment à la direction de leurs regards dirigés vers le ciel.

La licence Chobits est ancienne et donnait lieu à peu produits dérivés depuis plusieurs années lorsque Hobby Max a pourtant décidé de produire cette figurine de Chii sortie en 2020. La composition est de bonne qualité avec un lampadaire qui peut même s'allumer. Le socle est lesté pour éviter que Chii bascule donc le tout est légèrement plus lourd que la moyenne et j'ai préféré éviter de placer la figurine sur une étagère en verre.

La figurine de Yûki Nagato est ma figurine préférée du personnage, dont la production a été gérée directement par le studio Kyoto Animation.

Dans cet ensemble Yûyû Hakusho, ma figurine favorite est celle de Hiei avec son dragon de flammes noires, sorti chez Alpha Max alors que ses compagnons sont des productions Kotobukiya. Il existe aussi un Hiei chez Kotobukiya mais je le trouve beaucoup moins réussi et je n'ai jamais cherché à l'obtenir.

J'apprécie le lot hétéroclite de cette étagère. Zero Two est juste là car il y avait encore de la place mais pour les autres, les gens ignorent en général qu'il y a eu ces figurines d'Emma, de Princesse Réssurection ou encore de Chaika, et qu'elles sont pas mal du tout.

La Saber Alter de chez Alter fait partie de mes figurines de prédilection et je l'ai accompagnée avec d'autres Saber à l'échelle 1/7e dont la version robe kimono qui présente une très belle texture mais aussi un socle encombrant et un peu trop haut à mon goût.

Voilà un autre lot de figurines hétérogènes, avec notamment une jolie Lum sortie chez Kotobukiya mais aussi Akatsuki devant à droite et Ange au fond à gauche. Log Horizon et Princess Principal sont deux licences qui n'ont pas donné lieu à beaucoup de figurines de qualité.

J'ai d'autres figurines de Megumi Katô de Saekano mais elles forment un trio de avec des Eriri et Utaha équivalentes. Cette Megumi assise est une version "orpheline" sans correspondances avec des figurines des deux autres personnages clefs.

Dans cette brochette de Kurumi de Date a Live, la version Alphamax devant à droite est une édition limitée reconnaissable à son socle dorée alors que la version standard a un support plus terne.

Hatsune Miku est le personnage pour lequel j'ai le plus de figurines mais j'ai finalement pu ranger dans les Detolf toutes celles à l'échelle 1/7e qui sont en ma possession, toutes les autres étant des nendoroids ou à l'échelle 1/8e.

Le plus insolite dans cet ensemble harmonieux est que si Miku et Teto sont plus ou moins pensées pour être exposées ensemble , la Rem de Re;Zero n'a rien à voir et n'est même pas du même éditeur. Les vocaloids sont de chez Good Smile Company tandis que Rem est sortie chez FuRyu.

Les personnages de My Hero Academia sont des figurines produites par Kotobukiya. All Might est non seulement grand mais il est aussi bien lourd. En attendant l'arrivée d'autres protagonistes sortis dans la même collection, j'ai complété cet espace par le duo de nendoroids Rem et Ram versions enfants qui étaient des exclusivités de la boutique Good Smile Company. La nendoroid Nagisa de Clannad a été aussi achetée via cette boutique avec comme bonus exclusif les dango rose et jaune.

Globalement, j'ai placé un bel extrait de ma collection dans ces vitrines Detolf, extrait que je ne qualifierai pas cependant de best-of dans la mesure où j'ai exclu de ma sélection la majorité de mes figurines à l'échelle 1/8e et de mes nendoroids. Présenter une autre partie du reste sera certainement l'occasion de publier un nouvel article.